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Bibliographie

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G
Gilson, É.. (1972). L’être et l’essence (2008ᵉ éd.). Vrin.
Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.
Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.
Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.
La subjectivité à l'épreuve du social est un “processus psychiques et sociaux, subjectifs et collectifs par lesquels le sujet en situation sociale donne sens à son expérience (…) investigations plus anthropologiques concernant entre autres le mythe, l’interdit, le politique, la démocratie, la violence, la croyance.” (Propos sur le travail de recherche de Jacqueline Barus-Michel)
La subjectivité à l'épreuve du social est un “processus psychiques et sociaux, subjectifs et collectifs par lesquels le sujet en situation sociale donne sens à son expérience (…) investigations plus anthropologiques concernant entre autres le mythe, l’interdit, le politique, la démocratie, la violence, la croyance.” (Propos sur le travail de recherche de Jacqueline Barus-Michel)
Gori, R. (2011). La dignité de penser. Éditions Les Liens qui libèrent.
H
Heinich, N. (2015). Nobert Elias, l’inclassable. Sciences Humaines, (302), p. 55.
M
Malarewicz, J. Antoine. (2007). Réussir son coaching : une approche systémique ([2e éd.]., p. ix, 144 p.). Paris: Village mondial.
Miller, A. (1996). Le drame de l’enfant doué (1979ᵉ éd.). PUF.
Miller, A. (1996). Le drame de l’enfant doué (1979ᵉ éd.). PUF.
“La jouissance d’être comme fin poursuivie, elle est ce qui commence à structurer le Désir–sujet et, comme fin actualisée, ce qui l'exprime et le réalise dans la plénitude de son être. Sans cette jouissance d'être, le Désir-sujet n'est que désire inachevé, mais le manque me fait plus alors parti de son être et de son mouvement, il le détruit. Un sujet qui connaîtrait pas, d'abord partiellement et ensuite pleinement, la jouissance substantielle de l'existence ne serait pas un être humain achevé et ressemblerait plutôt un homme malade de ne pouvoir dormir. (…) Cette construction de soi par la lumière naissante exige la relation aux autres sources de lumière, qui sont elle aussi conscience et vie. Des miroirs sont ainsi nécessaires à la constitution de l’être. Chacun des êtres qui se sait comme source, chaque conscience, par l'échange miroitant et la multiplication de son rayonnement, peut ainsi devenir comme un soleil. La conscience est alors bien inscrite dans lettre et peut se réjouir de son maître. (…) Dans l'éclat dorés de leur nouvelle lumière, les consciences peuvent alors librement construire leur joie. Miroir et soleil, les sujets se font les architectes d'un nouveau monde et ils construisent ces Châteaux et ses Jardins où ils se réjouissent de se donner réciproquement, par leur lumière, et l’être et la jouissance d'être.” (pp.458-460)
« Elle n’est pas l’expérience de l’Être, elle est l’expérience d’être. Comme telle, elle est conscience qualitative et réfléchie de soi-même, conscience vécue où l’individu se saisit comme personnalité substantielle et active. » (p51)
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