Proposer une connexion entre les conduites d’échec et l’addiction peut paraître des plus paradoxale. En regardant de plus près, le sujet qui se place systématiquement en situation d’échec et mat ne fait que réitérer un déterministes d’un toujours plus de la même chose. Ce serait le prix à payer par le sujet culpabilisant en répétant inlassablement les mêmes scénarios de vie sans en créer de nouveaux. Scénario où la dimension masochiste de l’échec permet au sujet victimaire de trouver son plaisir : son malheur se transformerait en bonheur.