Formation clinique et travail de la pensée
L’écriture c’est l’inconnu. Avant d’écrire, on ne sait rien de ce qu’on va écrire. (…) et c’est ce qui permet vraiment d’écrire. (Marguerite Duras citée par Françoise Bréant p.109)
La pensée n’existe que dans la relation à l’autre. (…) La personne qui vient en formation est souvent porteuse d’une demande de restauration narcissique plus ou moins consciente dont l’importance varie d’une personnes à l’autre.(…) Mes consignes d’écriture viseront à amener certaines personnes plutôt sur le versant poétique et narratif, d’autres sur le versant épistémologique et démonstratif. Mon but construire des passerelles (…) d’articuler le poétique et l’épistémologique… la saveur et le savoir. (…) C’est la question de l’altérité qui est en jeu : faire le deuil d’une pensée totalitaire, accepter l’incertitude. (Françoise Bréant dans Cifali, M., & Giust-Desprairies, F. 2008 p.128)
- Lire la suite de Formation clinique et travail de la pensée
- Connectez-vous ou inscrivez-vous pour publier un commentaire
- Google Scholar
- RTF