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Bibliographie

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G
La subjectivité à l'épreuve du social est un “processus psychiques et sociaux, subjectifs et collectifs par lesquels le sujet en situation sociale donne sens à son expérience (…) investigations plus anthropologiques concernant entre autres le mythe, l’interdit, le politique, la démocratie, la violence, la croyance.” (Propos sur le travail de recherche de Jacqueline Barus-Michel)
Giust-Desprairies, F. (2003). L'imaginaire collectif (p. 247 p.). Érès.
Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.
Golse, B. (2012). Le langage et la construction de la personne chez le bébé. France Culture : Avec ou sans rendez-vous - 10/01/2012 - 14h - http://www.franceculture.fr/emissions/avec-ou-sans-rendez-vous-11-12/le-langage-et-la-construction-de-la-personne-chez-le-bebe. Consulté de http://www.franceculture.fr/emissions/avec-ou-sans-rendez-vous-11-12/le-langage-et-la-construction-de-la-personne-chez-le-bebe
Lorsqu’à sa naissance, le nouveau né se met à crier, son cerveau n’est pas encore mature. Et pourtant, dès les premiers jours de la vie, le nouveau né est sensible à la mélodie du langage de sa mère et l’on avance même qu’à 4 jours, un bébé est capable de distinguer sa langue maternelle d’une langue étrangère. Comment se développe et se construit ce bébé ? Quelle est la place de l’environnement ?
Gori, R. (2013). La fabrique des imposteurs. Éditions Les Liens qui Libèrent.
Gori, R. (2011). La dignité de penser. Éditions Les Liens qui libèrent.

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