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Bibliographie

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H
Heinich, N. (2015). Nobert Elias, l’inclassable. Sciences Humaines, (302), p. 55.
G
Gori, R. (2011). La dignité de penser. Éditions Les Liens qui libèrent.
La subjectivité à l'épreuve du social est un “processus psychiques et sociaux, subjectifs et collectifs par lesquels le sujet en situation sociale donne sens à son expérience (…) investigations plus anthropologiques concernant entre autres le mythe, l’interdit, le politique, la démocratie, la violence, la croyance.” (Propos sur le travail de recherche de Jacqueline Barus-Michel)
Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.
Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.
Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.
La subjectivité à l'épreuve du social est un “processus psychiques et sociaux, subjectifs et collectifs par lesquels le sujet en situation sociale donne sens à son expérience (…) investigations plus anthropologiques concernant entre autres le mythe, l’interdit, le politique, la démocratie, la violence, la croyance.” (Propos sur le travail de recherche de Jacqueline Barus-Michel)
Gilson, É.. (1972). L’être et l’essence (2008ᵉ éd.). Vrin.
D
Dupagne, D. (2012). Comment survivre aux médecins, aux hiérarchies et à notre société. France Inter : La tête au carré - 16/02/2012 - 15h00.
Une lecture des dysfonctionnements sociaux à la lumière des données de la biologie est source d’apaisement car elle permet de comprendre beaucoup de choses. Or, comprendre la maladie est une étape fondamentale pour guérir avec Dominique Dupagne, médecin (la revanche du rameur).
Dupagne, D. (2012). La revanche du rameur. Paris: Michel Lafon. Consulté de http://www.larevanchedurameur.com/
Dufour, D. R. (1996). Les deux sujets de l'éducation (p. pp. 29-44). Magazine.
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Desroche, H. (2008). Anamnèse n°4. L'Harmattan.
Desroche, H. (1992). Homme et religions (p. 239 p. --). Paris: Cerf.

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