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Développer le pouvoir sur soi sans exercer de pouvoir sur les autres, c’est se dépasser soi-même dans l'intérêt général. Nietzsche et sa notion de « surhomme » dans le sens de « au-delà de notre condition d’humain », n’a rien à voir avec ces notions d’excellence et de perfection de notre société contemporaine ou encore de race supérieure rêvée par Hitlher qui lui ne l’a jamais lu et a détourné sa pensée. Le « surhomme », c’est celui dont chacun porte en germe la possibilité. Il ne s’agit pas d’exercer un pouvoir sur les autres (comparaison externe de la conformité), mais chaque jour de se dépasser soi-même (comparaison interne du singulier). Ainsi, notre intelligence de « surhomme », elle est notre capacité à créer des connexions inattendues dans des domaines hétérogènes dans une visée : "Développer la puissance d'être de l'Être puisque sa seule raison d'être c'est d'être".

____________________________ En avant 1er...

 

Le Big Bang des addictions

Fisher, C. Erif. (2018). Le Big Bang des addictions. Cerveau & Psycho (Vol. 99). Cerveau & Psycho n°99 pp. 35-41.

De plus en plus de personnes ne peuvent plus se passer de sexe, des jeux d’argent, des réseaux sociaux… Des addictions qui ressemblent fort aux dépendances aux drogues. Comment les aider ?… Il est préférable de favoriser une approche flexible et global des traitements. Les individus accros à internet ou au sexe, mais dont les difficultés sont décuplées par une anxiété sociale ou une dépression, réclament beaucoup d’attention. Les patients ne peuvent pas être réduits à un circuit cérébral de la récompense piraté, et il n’existe à ce jour aucun diagnostic traitement unique et fiable de l’addiction.

Le grand fumeur et sa passion

Lesourne, O. (2008). Le grand fumeur et sa passion (1984ᵉ éd.). PUF.

La cigarette permet aussi de revivre l’accession à l’autonomie : se donner à soi-même du plaisir, c’est congédier l’autre, celui qui jusque-là en était le seul pourvoyeur. C’est signifier qu’on n’a pas besoin de lui. En fumant, on conjure la perte, le deuil : je te perds, toi cigarette ; objet, je te détruis mais je te retrouve ; je peux quand je veux recommencer. La cigarette-mère (abandonneuse, frustrante) est détruite et perdue mais aussitôt retrouvée sous forme de sa semblable, la cigarette-pénis est détruite, “castrée”, mais reparaît aussitôt intacte.

La genèse des addictions

Les addicts sont enfermés dans une habitude à laquelle ils ne comprennent pas grand-chose, dont ils se sentent esclaves, qui ne leur apporte généralement aucun plaisir, mais à laquelle ils tiennent comme à un membre de leur corps : s’en séparer serait se mutiler, car elle contient une partie de leur être. (…) N’oublions pas que, dans l’inconscient de l’addict, autrui est souvent dangereux, intéressé, égoïste et menteur, et qu’il ne faut à aucun prix s’y fier. Partir d’une sympathie toute simple, humaine, ne surtout pas juger, attendre qu’une confiance se crée, apprivoiser l’addict comme un animal sauvage, ne pas lui imposer de règles, faire alliance avec la partie malade, c’est-à-dire séparée du monde, des autres, aider à retrouver des plaisirs partageables, reçus et donnés, et ne pas oublier que nous aurions tous pu devenir des addicts, et que nous pourrions même le devenir sur le tard, comme il arrive à certaines personnes au déclin de leur vie, lorsque elles doivent renoncer à certains espoirs qui leur paraissent essentiels pour leur survie. Freud a bien dit que chez tous les sujets, y compris les normaux névrosés, il y avait sans doute une petite partie cachée et clivée. Cette partie pourrait être la conséquence de certaines des épreuves que tout humain doit vivre dans son enfance, en rapport avec le fait que, dans l’inconscient maternel, existait un refus de tel ou tel aspect de son enfant, épreuve supportée mais non acceptée et qui a laissé ses traces. (pp. 251-252)

Le drame de l’enfant doué

Miller, A. (1996). Le drame de l’enfant doué (1979ᵉ éd.). PUF.

Dans ce livre, l’auteur, avec une écriture fluide plus littéraire que psychanalytique,  parle de l’importance de différents points élaborant notre psyché personnelle de la petite enfance à l’adolescence conditionnant nos comportements et symptômes d’adulte. Tout comme Lacan l’exprime par son schéma “L”, elle développe l’importance essentielle des parents miroirs comme figures d’attachements. Ces miroirs renvoient un reflet Moi, par lequel l’enfant élabore son identité en devenir. La qualité de ces miroirs est questionnée…

Amour - Désir - Joie & Thérapie

Pourquoi l’amour prend-il autant de place dans notre vécu ? Est-il indispensable ?… Amour, désir… ces mots sont souvent flous ou contradictoires, l’amour aurait-il plusieurs visages. Les Grecs et les Romains avaient plusieurs couples de mot-sens pour désigner ceux-ci : éros, philia, agapé… Avec l’avènement du christianisme, ils se sont unifiés en un seul, Amour avec un grand A, provoquant ainsi des confusions de sens. Pour ce qui est du désir, nous avons le sens très ancien des philosophes et le sens contemporain de la psychanalyse. Ainsi, la notion de désir prend deux directions opposées, le désir fondé sur un regret (manque) et le désir fondé sur un souhait (projet). Équivoques, ces mots-sens sont confus, ils introduisent une incertitude, un doute quant à leurs compréhensions, interprétations et utilisations. Nos patients ou clients en souffrent…

La joie d’Amour. Pour une érotique du bonheur

Jalousie, lassitude, culpabilité, sentiment de trahison ou de domination... Nombreux sont les obstacles à franchir, les malentendus à lever, les souffrances à dépasser pour accéder à la joie d'amour. Démontrant qu'elle n'est en rien une utopie, Robert Misrahi propose une véritable "philosophie de l'amour". Il décrit de manière accessible et concrète comment le penser et le vivre pour atteindre la splendeur promise. S'appuyant sur son expérience mais aussi sur des exemples tirés de la littérature, Robert Misrahi explique comment surmonter les échecs amoureux et trace la route de la "conversion au bonheur". Un ouvrage positif et profondément humain.

Comment agir plus efficacement face au décrochage scolaire ?

Cnesco, institution. (2017). Comment agir plus efficacement face au décrochage scolaire ?. Cnesco - Dossier de synthèse - http://www.cnesco.fr/fr/decrochage-scolaire/ . Consulté de http://webjonction.fr/article/node/488

Peut-on comprendre pourquoi un enfant vie un décrochage scolaire ? Quelles sont les raisons et les causes de ce phénomène ? Où en sont les recherches ? Que puis-je faire ? Parent, professeurs des écoles des collèges ou des lycées, acteurs sociaux, politiciens… tous se posent la question des causes et chacun chante les siennes sans souvent voir ce qui se fait ou se dit à côté. Pour éviter ce phénomène en aval, le Cnesco a mener une évaluation. Ainsi, pour proposer un travail en amont faisons le tour de ce qui se dit et des préoccupations politiques parentales et sociales.

Maman, papa, j'y arrive pas !

À l’école, mon enfant est agité, il a des troubles de l’attention, il ne peut se concentrer, il est dys- (cf. article Dychmilblick)… dans cet ouvrage de Marie-Claude Maisonneuve, une autre piste que celle des neurosciences, des cognitivistes, de la pédo-psychiatrie de la psychanalyse et de la psychopédagogie nous est proposée : la rémanence de réflexes primitifs ou archaïques. Par cette approche “réflexe" et fonctionnaliste, il serait possible d’intervenir sur les difficultés scolaires. Voyons voir…

  • Ce livre propose une autre lecture des troubles et difficultés d’apprentissage de l’enfant. Ces troubles ou difficultés auraient probablement des causes purement physiologiques, liées à la maturation du système nerveux. Les réflexes primitifs ou archaïques du fœtus et de la petite enfance ne seraient pas arrivés à maturation pour s’inhiber et se substituer aux réflexes posturaux des grands enfants que nous sommes : mâchonner ses crayons comme réflexe primitif de la succion. Pour l’enfant, l’apprentissage scolaire lui serait des plus difficile, si ses réflexes primitifs persistent.

Les réflexes primitifs ou archaïques persistant : des tracas de l'enfance à l’aisance scolaire

À l’école, mon enfant est agité, il a des troubles de l’attention, il ne peut se concentrer, il est dys- (cf. article Dychmilblick)… dans cet ouvrage de Marie-Claude Maisonneuve, une autre piste que celle des neurosciences, des cognitivistes, de la pédo-psychiatrie de la psychanalyse et de la psychopédagogie nous est proposée : la rémanence de réflexes primitifs ou archaïques. Par cette approche “réflexe" et fonctionnaliste, il serait possible d’intervenir sur les difficultés scolaires. Voyons voir…

Phobies scolaires & Troubles de l’apprentissage

Pour nos enfants, pourquoi l’école peut-elle faire peur ? Pourquoi l’accès au savoir peut-il être un danger pour eux ? Pourquoi l’enfant refuse-t-il d’apprendre ? Pour ce faire une opinion, dans cet article nous allons passer en revue plusieurs approches : celle des neurosciences, celle des réflexes primitifs, celle de la théorie de l’attachement, celle de la psychanalyse, celle de la systémie familiale et celle de l’approche psychopédagogique. Aucune de ces approches ne détient la bonne seule vérité, mais chacune d’elles apporte des pistes de compréhension du phénomène.

    Une relation d'objet virtuelle ?

    L’immersion croissante de l’homme du troisième millénaire dans des environnements interactifs de simulation s’accompagne d’un discours officiel asséné par les médias cherchant à nous convaincre d’une contre-vérité : il existe une opposition radicale entre le virtuel et le réel. Mais pourquoi donc l’idéologie contemporaine postmoderne tient-elle tant à ce clivage ?

    Devenir parent, naître humain : la diagonale du virtuel

    Depuis le baby-boom, la psychanalyse du premier âge explore la créativité et la vulnérabilité des liens postnatals entre parents et nourrisson. Forte de cet héritage, il est temps maintenant qu’elle accueille « l’enfant virtuel » anténatal du troisième millénaire : sa majesté le bébé a vécu, vive le fœtus-savant ! Ce fœtus, « personne potentielle » mais patient à part entière du diagnostic anténatal, plonge parents et soignants dans une inquiétante étrangeté, tour à tour séductrice ou effrayante mais toujours fascinante et nostalgique. Ce contexte de mutation anthropologique majeure est pour le psychanalyste une véritable corne d’abondance clinique et éthique ! Confronté aux avatars de l’épigenèse entre nidification parentale et nidation fœtale, l’esquisse d’une véritable embryologie de l’intersubjectivité se dessine devant lui et lui donne l’occasion d’engager le débat des traces énigmatiques de la préhistoire liquidienne de la pulsion et de la relation d’objet. La consultation thérapeutique anténatale lui offre la possibilité d’accueillir les versions aliénantes de ces empreintes primitives qui s’inscrivent en temps réel dans le corps de l’embryon puis du fœtus et, après-coup, demeurent dans la partition biopsychique des humains. Mais finalement bien au-delà de la seule périnatalité, l’exploration de l’Atlantide intime donne au psychanalyste la précieuse opportunité d’envisager la virtualité du transfert et du cadre.

    Le bilan de l'intelligence

    Commençons par l’examen de cette faculté qui est fondamentale et que l’on oppose à tort à l’intelligence, dont elle est, au contraire, la véritable puissance motrice; je veux parler de la sensibilité. Si la sensibilité de l’homme moderne se trouve fortement compromise par les conditions actuelles de sa vie, et si l’avenir semble promettre à cette sensibilité un traitement de plus en plus sévère, nous seront en droit de penser que l’intelligence souffrira profondément de l’altération de la sensibilité. (Valery, P. 1935 p. 25)

    L’amour du censeur : essai sur l’ordre dogmatique

    Mais qui décide du sens d'un mot ? Pierre Legendre formule que le sens est accrédité par l’institution. Le rapport entre le signifiant (phénomène) et le le signifié (concept) est donc le signe, est un rapport d’obligation, il s’agit d’un lien de légalité qui nécessite une instance tierce régulatrice du signe. Cette instance accrédite le rapport [Signifié / Signifiant] = Signe en usage.

    • Signifiant = image acoustique, phénomène, processus…
    • Signifié = Concept, idée, représentation…
    • Signe = instance tiers régulatrice qui légitime et accrédite

    Lacan via freud

    Jacques Lacan est le seul parmi les grands interprètes de la doctrine psychanalytique à avoir effectué une lecture philosophique de l’œuvre freudienne et donc à lui avoir apporté une conceptualité entièrement neuve. Aussi l'a-t-il arraché au modèle biologique - évolutionniste et darwinien - qui avait été son point d'appui. Alors que Sigmund Freud souhaitait que sa discipline devînt une science de la nature, Lacan l'inscrit dans le registre des sciences humaines. Et c'est dans les travaux de la linguistique et de l'anthropologie - de Ferdinand de Saussure à Claude Lévi-Strauss en passant par Roman Jakobson - qu'il trouve le modèle qui lui permet d'effectuer sa relecture - ou plutôt sa relève (Aufhebung) au sens hégélien - de la pensée freudienne. À cet égard, l'œuvre de Lacan, en tant qu'elle théorise la relation de l'homme à la parole, à la langue et au langage, en assujettissant la subjectivité à la loi d'une structure signifiante, est l'une des grandes composantes de la pensée dite «structuraliste». On comprend pourquoi cette relève a pu donner naissance, dans l'histoire de la psychanalyse, à une école de pensée, le lacanisme, fondée non pas sur un dépassement du freudisme originel mais sur un retour aux textes fondateurs. (Roudinesco E. 2010, web)

    Plonger

    Ono-Dit-Biot, C. (2013). Plonger. Gallimard.

    Dans la vie, n’attends pas que le destin te prenne en charge. Le destin te regarde, il sera séduit s’il te voit entreprendre, il sera bon compagnon et te filera un coup de main, mais c’est à toi de faire le premier pas. Même si c’est absurde. (…) Ce sera toujours à toi de te lancer. (…) Les Grecs avaient un mot pour ça, Kairos : l’occasion, le moment propice. La fenêtre qui s’ouvre et par où tu dois t’engouffrer.

    Cinq éloges de l’épreuve

    Le sens du tragique me garde, me protège, me permet de tenir debout, d’être bien d’aplomb, de trouver mon point d’équilibre, de rejouer la scène où s’expriment souffrances, ravissements et vertiges… et de jouer sur les deux tableaux de la philosophie et du spirituel, du concept et de la poésie. Pouvoir de nouveau tenir debout et marcher, c’est retrouver la confiance d’avancer seul et la capacité d’aimer, d’apprécier librement ce qui est beau et bon autour de soi… (Sarthou-Lajus Nathalie 2014 pp.57-58)

    Le manque fonde une nouvelle façon d’être ensemble. (…) Or l’expérience du manque partagé nous rappelle que ce qui vraiment relie et fonde la communauté, ce n’est pas ce que nous possédons tous ensemble (valeurs partagées) mais plutôt ce qui nous fait défaut à tous ensemble. Tandis que la communauté fondée sur ses acquis communs se replie sur elle-même, la communauté fondée sur un manque commun se met en route vers un avenir meilleur. C’est l’avenir à construire plutôt que l’histoire passée qui soude les liens d’une communauté humaine. Ce sont les batailles à livrer plutôt que les trophées gagnés qui fondent l’identité collective. C’est le manque plutôt que l’autosuffisance à partir duquel se construit le vivre ensemble. (Lasida Elena 2014 p. 150)

    Le séminaire livre 1

    Les structures de la société sont symboliques ; l’individu en tant qu’il est normal s’en sert pour des conduites réelles ; en tant qu’il est psychopathe, il les exprime par des conduites symboliques. (Lacan J. 1975 p.95)

     

    Dans le rapport de l’imaginaire et du réel, et dans le constitution du monde telle qu’elle en résulte, tout dépend de la situation du sujet. Et la situation du sujet […] est essentiellement caractérisée par sa place dans le monde symbolique, autrement dit dans le monde de la parole. (…) Tout le problème dès lors est celui de la jonction du symbolique et de l’imaginaire dans la constitution du réel. (Lacan J. 1975 p.88)

    Psychopathologie clinique : quelles perspectives ?

    Le psychisme n’existe que dans son rapport avec d’autres. Cela signifie que les processus psychiques d’un sujet ne sont repérables que dans le rapport, dans le lien, dans la rencontre, avec un autre sujet. Toute psychopathologie est donc fondamentalement une psychopathologie du lien.

    Cf. aussi Golse : Bergeret, J., Soulé, M., & Golse, B.. (2006). Anthropologie du fœtus. Dunod. Consulté de http://webjonction.fr/article/node/86

    Et vous trouvez ça drôle ?

    • L’intelligence d’un discours dépend surtout de celui qui écoute
    • Va donc savoir quand tu ne sais pas
    • Ce n’est pas ce que l’on dit qui est important, c’est ce que les autres comprennent qui est important
    • Inventer quelque chose ça consiste à ramasser les idées des autres et à en tirer des conclusions auxquelles ils n’avaient pas pensé eux-mêmes
    • Le meilleur moyen de répondre à un mauvais argument, c’est de le laisser se développer jusqu’à la fin

    Dialogues avec les mères

    • La première tâche est d'éduquer les parents

    Eduquer un enfant n'a de sens que si cette éducation est saine, si elle ne transmet pas les préjugés, les blocages et les angoisses dont nous ne sommes pas nous-mêmes libérés. C'est ce que Bruno Bettelheim tente de nous faire comprendre à travers une oeuvre qu'on peut qualifier de socratique : tout au long de ces entretiens, aux questions d'une mère, il répond par une autre question, jusqu'au moment où la mère trouve enfin sa propre réponse, où elle devient consciente de ce qui a motivé son inquiétude ou sa peur. " J'ai essayé de mettre dans ce livre les exemples les plus quotidiens que je pouvais trouver. Il s'agit de petits incidents qui surviennent communément dans la vie de l'enfant et qui doivent être réglés à mesure qu'ils se présentent. Selon la façon dont nous nous y prenons, le développement de la personnalité de l'enfant et ses rapports avec la vie peuvent prendre tel ou tel cours, parmi bien d'autres. Chaque incident isolé peut très bien ne pas avoir de répercussion particulièrement importante, mais il est étonnant de constater à quel point l'ensemble de ces petites expériences finit par rendre toute une vie heureuse ou malheureuse. "

    Souffrance, sens et croyance

    Il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'évalue à l'aune de leur réception. (…) Ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation. (Barus – Michel, 2004, p. 8) dans (Giust-Desprairies F. 2013 p 33)

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