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Bibliographie

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1997
Charlot, B. (1997). Du rapport au savoir : éléments pour une théorie (p. 61). Anthropos : Diffusion Economica.
Ouaknin, M. - A., & Rotnemer, D.. (1997). La bible de l’humour juif. Edition Michel Lafon.
Vial, M. (1997). L'auto-évaluation comme auto-questionnement. Université de Provence, Département des sciences de l'éducation.
Vial, M. (1997). L'auto-évaluation, entre auto-contrôle et auto-questionnement. Université de Provence, Département des sciences de l'éducation.
Nietzsche, F. (1997). Le gai savoir. Paris, GF Flammarion.
1996
Bohm, D. (1996). Bohm on Dialogue. London: Routledge.
“La jouissance d’être comme fin poursuivie, elle est ce qui commence à structurer le Désir–sujet et, comme fin actualisée, ce qui l'exprime et le réalise dans la plénitude de son être. Sans cette jouissance d'être, le Désir-sujet n'est que désire inachevé, mais le manque me fait plus alors parti de son être et de son mouvement, il le détruit. Un sujet qui connaîtrait pas, d'abord partiellement et ensuite pleinement, la jouissance substantielle de l'existence ne serait pas un être humain achevé et ressemblerait plutôt un homme malade de ne pouvoir dormir. (…) Cette construction de soi par la lumière naissante exige la relation aux autres sources de lumière, qui sont elle aussi conscience et vie. Des miroirs sont ainsi nécessaires à la constitution de l’être. Chacun des êtres qui se sait comme source, chaque conscience, par l'échange miroitant et la multiplication de son rayonnement, peut ainsi devenir comme un soleil. La conscience est alors bien inscrite dans lettre et peut se réjouir de son maître. (…) Dans l'éclat dorés de leur nouvelle lumière, les consciences peuvent alors librement construire leur joie. Miroir et soleil, les sujets se font les architectes d'un nouveau monde et ils construisent ces Châteaux et ses Jardins où ils se réjouissent de se donner réciproquement, par leur lumière, et l’être et la jouissance d'être.” (pp.458-460)
Miller, A. (1996). Le drame de l’enfant doué (1979ᵉ éd.). PUF.
Donnadieu, B. (1996). Le projet dans la formation professionnelle: de la personne au personnage. Université de Provence, Département des sciences de l'éducation.
Institut français de Gestalt-thérapie,. (1996). Les Cahiers de Gestalt-thérapie. WEB : Collège de Gestalt-thérapie.
Dufour, D. R. (1996). Les deux sujets de l'éducation (p. pp. 29-44). Magazine.
En demandant aux cadres de devenir acteurs du changement du système de santé, la loi de 1991 sur la réforme hospitalière créait une rupture dans le plan de carrière des rééducateurs, qui s’inscrivait de façon traditionnelle, dans le sens d’une continuité de la technicité. Dans ce passage de la reproduction de l’existant à la novation, le cadre change de ”posture“ et devient ”coauteur“ des règles institutionnelles. La formation, pour être accompagnatrice de cette transformation, organise des conditions qui réalisent une activation des processus de change, ment des futurs cadres. Le partenariat établi entre l’école des cadres et l’université sert de générateur de ressources et de contraintes pour une conception novatrice de la profession. Le questionnement de l’étudiant sur son produit le conduit a partir de sa régulation a le réorganiser ou a le recréer. Cette hétéro-régulation participe ainsi a l’activation du processus créateur et des processus d’autorégulation. La créativité serait issue de la régulation, qui elle-même en comporterait. La recherche vise à évaluer l’activation des processus de changement, grâce aux conditions mises en place par la formation en partenariat. Une démarche de construction des référentiels professionnels permet de situer l’activation des processus dans les temps de la formation et de la prise de fonction de cadre. La référentialisation met en valeur l’existence d’un changement hybride, dans lequel la rupture et la continuité cohabitent et qui serait une conséquence de la régulation créatrice.
Singer, C. (1996). Rastenberg. Albin Michel.

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