F1 - Narcisse (18-30 mois) : légitimité d’être et honte
- Le mythe de Narcisse met en scène notre légitimité d’être en relation à une alliance subjective : les désirs projetés entre les protagonistes.
- Le narcissisme négatif ou de mort fait le déni de cette légitimité d’être, provoquant la néantisation d’un Moi-Vide. Il développe la honte et le refoulement primaire de la pulsion source avec son orientation en double retournement élaborateur de l’identité du sujet.
- Le narcissisme positif fait la promotion de cette légitimité d’être via la capacité de symbolisation du manque et de la perte élaborant un Moi-Plein de “l’autre en soi”. Ce dernier est un processus de sublimation ou d'élaboration, où la perte et le manque de la présence physique de l'autre se transforme en présence psychique. Il engendre le Moi par cette capacité de représentation symbolique.
- Le narcissisme négatif ou de mort fait le déni de cette légitimité d’être, provoquant la néantisation d’un Moi-Vide. Il développe la honte et le refoulement primaire de la pulsion source avec son orientation en double retournement élaborateur de l’identité du sujet.
F2 - Œdipe (3-7 ans) : légalité de nos actes et culpabilité
- Le mythe d’Œdipe met en scène la légalité de nos actes en rapport à un contrat social : les attendus socioculturels (interdits + glorifications). Il s’appuie sur la culpabilité et le refoulement de nos désirs, notre agir et nos pensées en relation aux principes de valeurs actifs (inertie ou nirvana - plaisir - réalité - constance).
F3 - Match ( Narcisse / Œdipe )
- Dans le mythe de Narcisse il y a négation de l’unité et de l’identité du sujet lui-même > Sa Face
- Dans le mythe d’Œdipe, il y a un déclassement du sujet par jugement de valeur > Sa place
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