À l’école, mon enfant est agité, il a des troubles de l’attention, il ne peut se concentrer, il est dys- (cf. article Dychmilblick)… dans cet ouvrage de Marie-Claude Maisonneuve, une autre piste que celle des neurosciences, des cognitivistes, de la pédo-psychiatrie de la psychanalyse et de la psychopédagogie nous est proposée : la rémanence de réflexes primitifs ou archaïques. Par cette approche “réflexe" et fonctionnaliste, il serait possible d’intervenir sur les difficultés scolaires. Voyons voir…
Les réflexes primitifs ou archaïques persistant : des tracas de l'enfance à l’aisance scolaire
- Ce livre propose une autre lecture des troubles et difficultés d’apprentissage de l’enfant. Ces troubles ou difficultés auraient probablement des causes purement physiologiques, liées à la maturation du système nerveux. Les réflexes primitifs ou archaïques du fœtus et de la petite enfance ne seraient pas arrivés à maturation pour s’inhiber et se substituer aux réflexes posturaux des grands enfants que nous sommes : mâchonner ses crayons comme réflexe primitif de la succion. Pour l’enfant, l’apprentissage scolaire lui serait des plus difficile, si ses réflexes primitifs persistent.
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article inspiré par l’ouvrage de :
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Maisonneuve M-C (2008) Maman, papa, j’y arrive pas ! Édition Quintessence
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