Pour revenir à la problématique de départ : "Comment transformer les émotions-aliénantes en émotions-dynamiques". Nous pouvons constater que pour obtenir le meilleur de tous, ni tout patriarcal, ni tout matriarcal est suffisant. Les deux travaillés en alternance se nomment la posture du couplage des dynamiques en projet ayant pour visée l’étayage des collaborateurs et de l’entreprise.

F 1 - Posture du couplage : Ni tout conducteur & Ni tout accompagnateur

1. La posture patriarcale des obstacles pose le concept d’ALIGNEMENT sûr les bases structurantes et récurrentes
   • La visée collective du “Pourquoi œuvrons-nous ensemble ?”
   • Les valeurs limites partagées du “À quoi nous référons-nous pour élaborer du sens dans l'action”
      
2. La posture matriarcale de la contenance permet le concept d’AGILITÉ sûr des bases dynamiques et innovantes
   • Valorisation des processus de désir, de l’engagement et de la responsabilisation
   • Changement permanent, adaptabilité aux aléas et monté en compétence
   • Communication transversale et hiérarchie limitée

F2 - Allier postures [ 2A ] et attitudes [ 3A ]

• Les 2A de [ Alignement / Agilité ]
  Dans le cas de la posture de couplage se développent non pas des mécanismes de défense mais des mécanismes de croissance des personnes et des organisations par la posture du couplage des dynamiques en projet et de son management délégatif cadré et réglé dans un dispositif
   
• Les 3A de [ Agent-Acteur-Auteur ]
  Le stress, l’anxiété et l’angoisse ne sont plus des freins mais des opportunités à apprendre, à changer, à créer et à innover. Ces émotions ne sont pas gérées, elles sont accompagnées et élucidées comme moteur des énergies d’entreprendre. Les agents deviennent ainsi acteurs de l’entreprise et auteurs d’eux-mêmes

F3 - Résumé

Allier [ 2A + 3A ] élabore des structures où les hommes et leurs organisations sont tous gagnant-gagnant. Ils transforment les mécanismes de défense en mécanismes de croissance par une gestion-responsable des émotions incontournables à tous organismes vivants. Ils assument l'expérience de la contradiction entre [ AFFECT / SAVOIR ].  En cette absence de confrontation dialectique, seul le terme "SAVOIR" prédomine provoquant ainsi une boucle mortifère d'un "plus de la même chose" sclérosante et paralysante. Les deux termes sont indissociables, interdépendants et tressés.  Arrêter de fonctionner, osez vous posez cette question : "Pourquoi les institutions au sens large, font le dénie du pôle "AFFECT" et clivent cette contradiction sur le pôle "SAVOIR" dans une prise de position idéologique affirmative ?" Trois article pour comprendre, en savoir plus ou aller un peu plus loin puisque nos actes sont le miroir de notre façon de pensée : Pensée autrement… • Pensée clivée… organisation bloquée • Pensée dialectique… Organisation dynamique.