B - Réflexes primitifs ou archaïques

 

B1 - Inhibition des réflexes primitifs

  • L’hypothèse de Marie-Claude Maisonneuve relie les troubles de l’apprentissage (effets) à la persistance des réflexes primitifs (causes). Si ces réflexes primitifs n’arrivent pas à terme et ne sont pas remplacés par les réflexes posturaux, l’enfant va vivre des difficultés dans les apprentissages scolaires. Ce contexte scolaire impose d’autres conditions environnementales et donc d’autres réflexes secondaires remplaçant les primaires. Elle propose de comprendre ce phénomène de maturation des réflexes pour agir sur les causes physiologiques des difficultés scolaires et comportementales de l’enfant :
    • “Le résultat de mes recherches et de mon expérience est une méthode simple et efficace qui agit à l’origine des troubles dont souffre l’enfant. Elle permet, grâce à un travail exclusivement corporel, de restaurer le système nerveux d’un enfant en lui donnant une seconde chance de se développer comme il aurait dû le faire. De plus, la participation des parents donne à ce travail une dimension affective et psychologique unique. La méthode que je propose fournit à l’enfant les moyens d’apprendre et de progresser sur son chemin de vie. L’échec scolaire n’est plus une fatalité !” (Maisonneuve M-C 2000 p.17)

B2 - Nomenclature des réflexes primitifs

  1. Réflexe de retrait
  2. Réflexe de Moro
  3. Réflexes palmaire et plantaire
  4. Réflexe de succion
  5. Réflexe tonique du labyrinthe
  6. Réflexe tonique asymétrique du cou
  7. Réflexe tonique symétrique du cou