B1 - Je rage de ressentir cela
- Mais qu’est-ce qui m’arrive, pourquoi me “délivrer” de mon paradis ou je n’ai qu’à penser ?
- Je ne veux pas, je veux retourner là d’où je viens ?
- Me voilà obligé de respirer, de manger, de déféquer…
- C’est quoi ce truc (corps) qui me limite ?
B2 - Ma première angoisse : la dissociation corporelle
- Cette dissociation corporelle, elle ne me convient pas.
- Stratagème, je mets en place ma première pensée phantasmatique : l’absorption.
- Je mange, j’incorpore tout ce qui me tombe sous la bouche.
- Que le monde se recentre en moi.
- Je me protège par stratégie du déni de ce qui est.
- Je veux retourner où j’étais…
B3 - Mes affects partagés et mes traumatismes
- Oto Rank avait raison, c’est traumatique tout cela. Mais comme je suis l’autre et l’autre est moi et s’occupe de moi, je partage ce trop d’affects avec elle, cette autre moi-même. Elle est bienveillante, suffisamment bonne avec moi. Ce partage d’affect me rend plus doux, moins traumatique cette expérience de désunion corporelle nommé délivrance. De qui ou quoi ? Cela me dépasse. Cette relation, ce partage d'affect m’évite de dénier cette nouvelle réalité qui se déroule. Cette rage, la garderai-je pour toujours ?
- 0 > 2 mois - Conflit n°1 : J’ai appris ma 1er ambivalence ou dialectique de l'unité perdu du TOUT
Ma position adhésive ou auto-sensuelle (symbiotique)
- Origine : ressenties corporelles du Un
- Angoisse : anéantissement
- Pensée : phantasme d’absorption
- Mécanisme de défense : le déni
- Impact : rester en fusion, refus de la réalité
- Conflit 1er : ambivalence ou dialectique de l'unité perdu du TOUT
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