Bibliographie
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(342.19 Ko). (1986). Du contrôle des apprentissages à l'évaluation des pratiques et des institutions éducatives. Rencontres d'automne, Académie de Nancy, Metz.
(70.99 Ko). (1986). Du contrôle des apprentissages à l'évaluation des pratiques et des institutions éducatives. Rencontres d'automne, Académie de Nancy, Metz.
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(70.99 Ko). (2007). Éloge du conflit. La découverte.
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. (1998). Et vous trouvez ça drôle ?. Le cherche Midi.
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. (1952). Images et symboles: essais sur le symbolisme magico-religieux (Vol. 60). Gallimard.
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. (2002). L’identité professionnelle du point de vue de la psychologie sociale clinique. Actes de l’université d’automne. Consulté de http://eduscol.education.fr/cid46602/l-identite-professionnelle-dupoint-de-vue-de-la-psychologie-sociale-clinique.html
. (2002). L’identité professionnelle du point de vue de la psychologie sociale clinique. Actes de l’université d’automne. Consulté de http://eduscol.education.fr/cid46602/l-identite-professionnelle-dupoint-de-vue-de-la-psychologie-sociale-clinique.html
. (2013). La bible du coaching aujourd'hui. Maxima.
Un mode d'emploi qui se veut une "bible" (ety. = livre)
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. (1949). La dialectique par Paul Foulquié (Vol. 363). PUF.
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. (2013). La recherche clinique en sciences sociales. Erès.
Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.
. (2013). La recherche clinique en sciences sociales. Erès.
Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.
. (2013). La recherche clinique en sciences sociales. Erès.
Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.Cette corroboration par confrontation au réel donne un statut tout particulier à la question de la preuve, essentielle dans les sciences durs. Pour Jacqueline Barus-Michel, cette question de la preuve se pose différemment dans les sciences humaines : « il s'agit d'interprétation, leur justesse (on ne peut parler de vérité ni d'exactitude) s'est valu à l'aune de leur réception. » Pour elle, « ce n'est pas l'objectivité des faits qui est l'essentiel en sciences humaines cliniques, mais les processus par lesquels les sujets donnent signification (ou hier achoppent), à ce qu'ils tiennent pour des faits, que ceux-ci soient effectivement observables ou vérifiables ou qu'ils relèvent de représentation » (Barus – Michel, 2004, p. 8) & (Giust-Desprairies F. 2013 p 33Barus – Michel, J. (2004) Souffrance, sens des croyances. L'effet thérapeutique. EresGiust-Desprairies, F., De Gaulejac, V., & Massa, A. (2013). La recherche clinique en sciences sociales: Erès.
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. (1981). Le corps de l'œuvre : essais psychanalytiques sur le travail créateur (Vol. 43). Gallimard.
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. (2005). Les nouvelles approches sociologiques des organisations. Seuil.
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. (1962). Les origines de la pensée grecque (12e edit. 2016). PUF. PUF.
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. (1992). L'organisation en analyse (p. 334 p. --). PUF. Consulté de https://fr.wikipedia.org/wiki/Eug%C3%A8ne_Enriquez