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Bonheur

BONHEUR ! C'est quoi ?

Le bonheur devient un nouveau crédo pour le politique, l'entreprise et l'individu. Que penser de la phrase suivante : “La bienveillance et le bonheur engendrent la confiance qui génère la performance” - Elle n'est pas sans nous rappeler celle-ci plus ancienne : “Un esclave heureux est un esclave productif ”. Le mot-concept qualifiant le temps en “Bonne-Heure” et son contraire le “Mal-Heure”, de même pour la “Bien-veillance”, vont-t-ils être eux aussi détournés de leur sens ? La nuance et la réponse est-elle dans le modèle des relations humaines ou bien seriez-vous un Happycondriaque" ?

AMOUR n°2 : Deux cheminements du bonheur & du désir d'amour

Le bonheur manqué et le bonheur en acte d'un amour qui peux s'exprimer par deux désirs opposés et très différents. La Vie se composerait de deux items ( Naissance / Mort de ce qui est né ) (cf. Rilke). Pour que la Vie vive, son processus serait l'Amour se composant elle-même de deux items ( Compassion / Haine ). Pour les philosophes et les psys, cet amour s'exprimerait soit par le désir (d) fondé sur un manque (bonheur manqué) ou soit par le Désir (D) fondé sur la puissance (bonheur en acte). L'un de ces désirs est aliénant (pulsion de mort) lorsque l'autre est libérant (pulsion de vie). Parler d'amour est une chose, mais le vivre sans en parler en est une autre. Que pouvons nous croire et dire de ces deux Amour-Désir et amour-désir ? Déroulons la pelote.

Le bonheur, désespérément

Le bonheur manqué et le bonheur en acte d'un amour qui peux s'exprimer par deux désirs opposés et très différents. La Vie se composerait de deux items ( Naissance / Mort de ce qui est né ) (cf. Rilke). Pour que la Vie vive, son processus serait l’Amour se composant elle-même de deux items ( Compassion / Haine ). Pour les philosophes et les psys, cet amour s’exprimerait soit par le désir (d) fondé sur un manque (bonheur manqué) ou soit par le Désir (D) fondé sur la puissance (bonheur en acte). L’un de ces désirs est aliénant (pulsion de mort) lorsque l’autre est libérant (pulsion de vie). Parler d’amour est une chose, mais le vivre sans en parler en est une autre. Que pouvons nous croire et dire de ces deux Amour-Désir et amour-désir ? Déroulons la pelote…

Happycratie : comment l’industrie du bonheur a pris le contrôle de nos vies

"Le bonheur et le malheur serait en vérité une affaire de choix. […] On a toujours cru profondément […] qu’un sort misérable est toujours la conséquence d’efforts insuffisants. Le Self-Made-Man par excellence.” (Illouz E. 2018, p.11). En cas d’échecs personnels de notre capacité à nous façonner nous-même dans la poursuite effrénée du bonheur dans un comportement happycondriaque, le sentiment de solitude, le détachement d’autrui, le désespoir, la dépression et le suicide en sont leurs corollaires par autodénigrement : “je suis incapable… J’ai honte… Je ne maîtrise pas ma vie émotionnelle… J’ai commis une faute… Je me condamne… Etc.” Ainsi, le contexte qu'il soit familial, institutionnel ou de l'entreprises privée, se dédouanerait de leurs responsabilités en accusant l'incapacité des sujets à être heureux. Ce qui fait dire à Illouz à propos de cette illusion de la quête du bonheur individuel : “de nombreux auteurs, suivant en cela Michel Foucault, critiquent de façon convaincante ses prétentions, en arguant principalement que s’en remettre au gouvernement de soi – fondée sur l’idée que les gens pourraient maîtriser leur existence à volonté – pousse l’individu à se croire responsable de tout ce qui lui arrive.” (Illouz E. 2018, p.156)

Bonheur & Happycratie

Le bonheur devient un nouveau crédo pour le politique, l’entreprise et l'individu. Que penser de la phrase suivante des managers et maintenant de l'Éducation Nationale : “La bienveillance engendre la confiance qui génère la performance” - Elle n’est pas sans nous rappeler celle-ci plus ancienne : “Un esclave content est un esclave productif ”. Le mot-concept qualifiant le temps en “Bonne-Heure” et son contraire le “Mal-Heure”, de même pour la “Bien-veillance”, vont-t-ils être eux aussi détournés de leur sens ?

La joie d’Amour. Pour une érotique du bonheur

Jalousie, lassitude, culpabilité, sentiment de trahison ou de domination... Nombreux sont les obstacles à franchir, les malentendus à lever, les souffrances à dépasser pour accéder à la joie d'amour. Démontrant qu'elle n'est en rien une utopie, Robert Misrahi propose une véritable "philosophie de l'amour". Il décrit de manière accessible et concrète comment le penser et le vivre pour atteindre la splendeur promise. S'appuyant sur son expérience mais aussi sur des exemples tirés de la littérature, Robert Misrahi explique comment surmonter les échecs amoureux et trace la route de la "conversion au bonheur". Un ouvrage positif et profondément humain.

L’homme qui voulait être heureux

Être heureux !… Celui qui n'aspire pas à cela lève le doigt… Petit résumé du roman de « L’homme qui voulait être heureux » de Laurent Gounelle où ce que l’on croit peut devenir réalité. Quand nous sommes convaincus d’une chose, elle devient notre réalité. Ce que nous croyons détermine ainsi ce que nous sommes et constitue notre identité du moi. Mais encore plus contraignant, nos croyances orientent notre vie tant bien que mal. Le bonheur consisterait pour l'auteur à sortir de cette boucle des croyances figées qui d'un côté nous propulsent et de l'autre côté nous aliènent.

Bonheur au travail ou l'entreprise Bisounours !

Le bonheur devient un nouveau crédo pour l’entreprise. Que penser de la phrase suivante des managers et maintenant de l'Éducation Nationale : “La bienveillance engendre la confiance qui génère la performance” - Elle n’est pas sans nous rappeler celle-ci plus ancienne : “Un esclave content est un esclave productif ”. Le mot-concept qualifiant le temps en “Bonne-Heure” et son contraire le “Mal-Heure”, de même pour la “Bien-veillance”, vont-t-ils être eux aussi détournés de leur sens ? La nuance et la réponse est-elle dans le modèle de gouvernance des relations humaines ?

Changement n°6 - Être heureux !

Être heureux !… Celui qui n'aspire pas à cela lève le doigt… Petit résumé du roman de « L’homme qui voulait être heureux » de Laurent Gounelle où ce que l’on croit peut devenir réalité. Quand nous sommes convaincus d’une chose, elle devient notre réalité. Ce que nous croyons détermine ainsi ce que nous sommes et constitue notre identité du moi. Mais encore plus contraignant, nos croyances orientent notre vie tant bien que mal. Le bonheur consisterait pour l'auteur à sortir de cette boucle des croyances figées qui d'un côté nous propulsent et de l'autre côté nous aliènent.

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